"Stock–––Archive"
Exposition du 17 au 30 mars 2023
Réfectoire des nonnes, Site des Subsistances, Ensba Lyon
Patiemment et de manière informelle, un fonds de travaux imprimés a été constitué au pôle édition de l’Ensba Lyon. Dans cet atelier d’expérimentation et de production, des centaines de pièces d’étudiant·es, d’artistes et de designeur·es ont été pensées, imprimées, façonnées.
« Stock–––Archive » présente pour la première fois un ensemble conséquent de ces pièces, augmenté de plusieurs prêts d’étudiant·es pour l’occasion, dans lequel on pourra mesurer l'énergie et la vitalité de la pensée à l’œuvre en école d’art et design.
Une proposition de Nicolas Romarie et Alex Balducci, Louise Cointepas-Robin, Agathe Colombo, Lug Dessalles, Léna Drulhes, Maxime Naudet, Matthias Reclus, Lyriane Renault, Théophile Rolland, Alice Rouillé, Lïa Vial.
Billes, 2022. Graphite sur papier, 42 x 29.7 cm
Terrazzo, 2022, Graphite sur papier, 42 x 29.7 cm
Papier froissé, 2021 Graphite sur papier, 107 x 84 cm
Aujourd'hui, du 19 mai au 1er juin 2022
Atelier 19-1, Lyon
avec Blandine Lamotte, Yveline Loiseur, Pascal Poulain, Mengzhi Zheng
Photographie ©Usine Utopik
Arch.Myc, 2019
Bois, mycelium, 94 x 80 x 37 cm
Cette série de sculptures a été réalisée par un procédé développée par une start up américaine qui vise au remplacement des emballages plastiques par un matériaux naturel à base de copeaux de bois et de mycelium. Dans des moules spécialement fabriqués, le champignon se développe et fige la matière qui peut être compostée une fois utilisée.
Les formes ont été réalisées en stylisant les silhouettes de sculptures néolithiques de provenance diverses, sculptures créées à un moment charnière de notre histoire, lorsque l'homme devient
sédentaire et développe l'élevage. Les formes ont ensuite été maintenues plusieurs mois dans une cave afin que se développent sur elles d'autres espèces de champignons et créent ainsi un écosystème microscopique.
Photographie ©Usine Utopik
avec françois andes et caroline lestienne simon augade cécile beau hugo bel virgile debar nicolas desverronnières romuald dumas jandolo elsa-r laëtitia férard régis gonzalez médéric jeanne nicolas koch caroline le méhauté guillaume le moine romain lepage frédérique metzger laurence nicola jean charles rémicourt marie nicolas tourte dae-won yang
Avec La Région Nomandie et l'Usine utopik
Dans le ciel, 2019
Impression pigmentaire sur papier hahnemühle, encadrement
117 x 90 x 3 cm
Katrina Abbatuan, Suzanne Anker, Theo A. Artz, Megumi Baba, Denise Batchelor, Ying Kit Chan, Adam Crosson, Pedro Cruz, Jose Esquive, Adam Fine of Dropcopter, Liliana Folta, Gorenflos Architekten, Virginia Hanusik, Sasinun, Kladpetch, Dieter Kor, Saskia Krafft, Christina La Sala, Guillaume Le Moine, John D. Liu, Emma Löfstrom, Mara and Tyler Marxt-Lewis, Tapan Moharana, Gerardo Nolasco, Silvia Noronhal, Meadhbh O’Connor, Ashley Peevor, Bonnie Peterson, Nathalie Rainer, Jana Schumacher, Bernhard Schurian, Stefaan van Biesen
with special Guest Artists from the School for Visual Arts New York Bio Lab
in partnership with Humboldt-Universität zu Berlin's Thaer-Institut of Agriculture and Horticulture, Humboldt-Universität and the Museum für Naturkunde Berlin.
Blue Grey Brown
Humboldt-Universitat zu Berlin, Campus Nord branch Library, Berlin
Curator : ArtSci
From May 2d to August 17th 2018
Solo show
Trac., 2018
Fibres de polyester, moulages en résine peints de fossiles de dents et griffes de dinosaures
Installation interactive. Les visiteurs sont invités à tracer des formes avec les moulages en jouant avec le sens des fibres
Les moulages ont été réalisés à partir de fossiles de Tyrannosaurus Rex, Megalosaurus, Nanotyrannus, Baryonyx, Dromaeosaurus Albertensis, et de Velociraptor. Les marques sur le tissus issu de l'industrie pétrochimique s'effacent d'un simple mouvement de main. Cette pièce offre une expérience singulière qui s'inscrit sur un temps géologique et invite à la réflexion sur la fragilité de l'instant et sur des notions contradictoires, entre naturel et artificiel, entre douceur et bestialité, modernité et archaisme.
Ll. 2018
Wafers solaires de silicium, encadrements bois peint, verre museum
Avec SolarWorld
Ce matériaux, du silicium polycriystallin, est un composant de panneaux solaires. Il a été obtenu brut en faisant stopper une chaîne de production d'une usine allemande, SolarWorld.
Ces pièces mettent en scène un assemblage de wafers qui varie selon l'encadrement pour créer une composition abstraite et géométrique.
Ll. 2018
Solar silicon wafers, frames with SolarWorld
The blue material is a photovoltaic polycrystalline silicium wafer. To get it, the lab had to halt the production line of solar panels of which the latter crystal is the main component.
Lorsque nous avons pensé cette exposition, l’envie était d’abord de revenir à un format davantage épuré et une figuration résolument plus calme, « reposée ». Nous ressentions déjà en amont les interrogations, voire l’énigme théorique de ce thème, qui n’en est finalement pas vraiment un. Comme un entre-deux, nous nous interrogions sur le cheminement intrinsèque de chacune des pratiques présentées. Alors, afin de mieux comprendre les contours et les processus engagés auprès de cette sélection, quelques questions subsistent. Pourquoi mettre en avant ces architectures prosaïques ? Comment se fait-il que les personnes qui y vivent ou y travaillent disparaissent-elles du cadre ?
Les six artistes du projet Topologie* de l’absence ont installé ici des témoignages correspondant à des lieux particuliers qui mettent en exergue certaines géographies oubliées parce qu’elles sont monotones ou indiffèrent l’opinion. Pourtant ces constructions en marge sont peut-être le futur patrimonial de notre société post-contemporaine. On peut d’ores et déjà remarquer la connivence, même si les œuvres ne dévoilent pas la même chose, de cet ensemble positionné au sein du centre d’art.
Plusieurs territoires sont étudiés à travers leurs regards, disséqués, et nous ne pouvons nous empêcher d’établir en notre for intérieur un désir particulier de connaître, sinon les histoires de ces lieux, du moins la raison pour laquelle ils se dressent devant nous. Ce sont des narrations en plusieurs actes, où l’individu, bien qu’il devrait être protagoniste de ces fondations, est absent.
Depuis les « sculptures anonymes » (Anonyme Skulpturen) de Bernd et Hilla Becher - qui, à partir de la fin des années 50, par des photographies frontales et géométriquement adéquats inventoriaient des structures industrielles -, on a pu constater que cette représentation se reflétait jusqu’à notre époque dans le travail d’artistes qui néanmoins n’ont pas les mêmes accointances. Eric Tabuchi puise dans cet héritage tout en proposant un nouvel et tentaculaire corpus. Les Architectures d’entrainement (2017) et Nouvelle Architecture Tertiaire (2016), modules réalisés conjointement avec Nelly Monnier, sont là pour le prouver. Surgissent de l’image et de la toile au premier plan des paysages délaissés, des géographies lambda tels que le Pont de l’Abîme, le Barrage du Saut-de-Mortier (2015) ou même la banalité d’un immeuble d’habitations dans une des nombreuses communes de la province française… Ici Saint-Egrève (2015). Représenter ce qu’il y a entre les villes et les villages, dans ces zones hors des circuits patrimoniaux et touristiques, photographier sous toutes les coutures les constructions du domaine du travail, loin de ce que les personnes ont l’habitude de contempler, est un des leitmotivs des deux plasticiens.
A contrario, dans les photographies d’Anaïs Boileau à Raouche, Beyrouth (2016) on retrouve un quartier aisé de la capitale libanaise. Ces élévations nous donnent le sentiment d’une perte de repère dans les paysages étincelants d’immeubles flambant neufs qui semblent cependant posés là dans une spatialité aride, vidés de ses habitants.
Partir sur les routes et se fixer sur des zones pour entreprendre une étude sérielle et en plusieurs chapitres peut être, dans le cas de Caroline Bach, un révélateur de traces. Ce sont des vestiges de luttes sociales dans les points névralgiques de l’exaspération des ouvriers, dont le cri principal pourrait se traduire en ces mots : Dites-nous comment survivre à notre condition (2015). Ce projet documentaire inventorie les stigmates des faillites (Bataville), des revendications et de la rugosité des conflits (Goodyear, Arcelor Mittal…).
Audrey Guiraud, dans Invisible City (2015), découvre les agrégats des architectures oubliées, victime de notre inattention envers le caractère usuel de leurs formes. L’usine Perrier par exemple, ou d’autres entrepôts en tôle de type industriel qui n’attirent pas notre regard. Les contextes de ces clichés s’intéressent avec précision aux réminiscences esthétiques qui résident en surface de ces terrains pour manufactures.
Enfin, au centre du display de Topologie de l’absence nous déambulons autour d’une sculpture de Guillaume Le Moine, st.ref (2016), fines structures en bois rappelant succinctement les lignes synergétiques de Buckminster Fuller. L’obsidienne et le granit, véritable métaphore écliptique au cœur de l’exposition, équilibrent le tout.
Par des médiums différents mais si proches – qui parfois se confondent - tels que la photographie, la peinture et la sculpture, nous sommes confrontés à des œuvres immergées dans une analogie perceptive. Elles montrent des architectures corrélées au travail ou à l’habitat ; mais sont donc toutes totalement dénuées de présence humaine. Il reste l’histoire, les témoignages de ceux qui les ont traversées ou des artistes qui ont réalisé avec leur singularité et leur propre modus operandi, des topologies qui révèlent une énigmatique absence d’individus. Ces « lieux fantômes » sont, au-delà de leurs inventaires figuratifs, des indices relevés dans des contextes très précis (politique, géographique, esthétique, encyclopédique) par Caroline Bach, Anaïs Boileau, Audrey Guiraud, Guillaume Le Moine, Nelly Monnier, et Eric Tabuchi.
De multiples routes ont été empruntées, et plusieurs récits mis en avant au CACN feront l’objet de recherches et de débats jusqu’en décembre 2017. Un moyen de nous interroger sur l’empreinte de ces urbanités dans le paysage, ainsi que sur les identités de ces lieux retranscrits par ceux qui les ont expérimentés.
Bertrand Riou
* Le mot « topologie » procède de l'association de deux noms grecs (o topos, masculin) et (i logia, féminin) qui signifient respectivement « le lieu » et « l'étude ». Littéralement, topologie signifie l'« étude d'un lieu » ou « étude topique ». Elle s’intéresse donc à définir ce qu’est un lieu (appelé aussi « espace ») et quelles peuvent en être les propriétés.
st.ref. 2016
Hêtre, colle, gravure laser d’une photo floue prise au smartphone sur disque de granit noir poli, obsidienne de Milo.
Beech, glue, blurred photo taken with a smartphone laser engraved in a polish black granite disk, obsidian from Milos.
51 x 47 x 153 cm
Vue de l'exposition Topologie de l'absence, CACN, Nîmes, 2017
What do we see? Do we actually perceive what we want to see? Or do we even want to see what we observe right in front of us? What expects us in the future? Is it predetermined and unpreventable? Are there signs which tell us what we have to anticipate?
Edgar Askelovic (Isenbuttel, DE) Benjamin Badock (Leipzig, DE) Thomas Behling (Berlin, DE) Sonja Bendel (Wien, AT) Simone Brühl (Berlin, DE) Rita Erven (Kiel, DE) Klaus Fezer (Zerbst, DE) Astrid Jahns (Hannover, DE) Martyna Jastrzebska (Gdynia, PL) Fabian Knöbl (Winnweiler, DE) Terézia Krnácová (Banská Byystrica, SK) Maria Kropfitsch (Ludwigshafen am Rhein, DE) Guillaume le Moine (Lyon, FR) Esra Oezen (Braunschweig, DE) Mareike Poehling (Hannover, DE) Meike Redeker (Braunschweig, DE) Antonia Rehnen (Groningen, NL) Katja Staudacher (Hamburg, DE) Marco Wagner (Bad Neustadt, DE) Sebastian Wanke (Willingshausen, DE) Susanne Wurlitzer (Leipzig, DE)
VLA, 2017
3 Impossible prints
In collaboration with Nanomat, a platform of
nanofabrication and nanocarecterization of the University of technology of Troyes and the University of Reims Champagne-Ardenne.
A 20 μm stereolithography of the Very Large Array of the National Radio Astronomy Observatory of San Augustin (USA).
En collaboration avec l’équipe de Documents d’artistes Rhône-Alpes (www.dda-ra.org), invitée par les artistes à concevoir un dispositif documentaire et éditorial singulier en prolongement de l'exposition.
Avec Fabienne Ballandras, Blandine Lamotte, Guillaume Le Moine, Yveline Loiseur, Pascal Poulain, Damir Radovic, Nicolas Romarie et Mengzhi Zheng.
Nanocosmos, 2015
Plasic PE 2200/stéréolithographie de nanotubes de carbone, chewing-gums, mousse polyuréthane recyclé.
Plastic PE 2200/carbon nanotube stereolithography, chewing gum, recycled polyurethane foam
250 x 250 x 6 cm.
Ll.enz. Arg. 2017. Wafers de silicium photovoltaiques, argile, cire
Exposition du 30 avril au 29 mai 2015
Vue de l’exposition Être et Avoir #2. Photo : Florent Gardin 2015
avec Jean-Adrien Arzillier, Sarah Barthe, Patxi Bergé, Sandrine Bernard, Benoît Broisat, Thibault Brunet,Stéphane Calais, Pierre Buraglio, Pierre Chancel, Xavier Conti, Florinne Corbara, Pierre-Guilhem Coste, Guillaume Dégé, Frédéric Di Martino, Mark Dion, Ernest T., Joan Fontcuberta, Alexandre Giroux, Trevor Gould, Hippolyte Hentgen, Christian Jaccard, Régine Kolle, Jérémy Laffon, Benjamin Laurent-Aman, Stéphane Le Droumaguet, Guillaume Le Moine, Julien Loiret, Hamid Maghraoui, Mika Perez, Bernard Piffaretti, Sophie Polge, Patrick Saytour,Yuan Dan, Patrick Van Caeckenbergh, Arnaud Vasseux, Claude Viallat, Emilie Zitter.
Guillaume Le Moine / exposition
personnelle
07 / 02 - 15 / 03 / 2013
La sémantique du titre de l’exposition, Matière noire, renvoie à une porosité entre art et science qui constitue une base importante des recherches de Guillaume Le Moine. L’artiste propose des formes épurées et retenues à l’intervention minimaliste et ouvertes à de multiples interprétations symboliques. Il pratique en outre un art participatif et collaboratif et implique parfois le visiteur dans son processus de création.
Pour l’espace du Hall d’exposition du Centre des Humanités de l’INSA, Guillaume Le Moine installe un ensemble de pièces inédites parmi des pièces précédemment exposées. En plaçant notre attention entre infiniment petit et infiniment grand, entre visible et invisible, entre utopie et dystopie, il nous invite à des réflexions croisées sur la nature de notre condition humaine au regard de nouvelles technologies.
Gamétophytes, 2011,
Gravure sur verre, structure aluminium, 216 x 150 x 190 cm. Vue de l’exposition Matière noire, INSA, Lyon 2013
Pollens shapes engraved on glass, aluminium, 216 x 150 x 190 cm. View of the solo sho, Matière noire, INSA Lyon, 2013
Sidérite, 2013, Météorite sidérite Campo del Cielo, 71 aimants de néodyme. 22 x 14 x 15 cm. Pièce participative.
Encelade 1-2, 2012-13, Tirages pigmentaires contrecollés sur forex, verres sablés, encadrements, 73,5 x 103,5 cm chaque. Guillaume Le Moine/JPL Nasa. Vue de l’exposition Matière noire, INSA Lyon, 2013
Un dessin de radiolaire (zooplancton) extrait d’une planche du biologiste Ernst Haeckel est gravé sur sur le verre d’encadrement d’une photographie d’Encélade prise par la sonde Cassini.
Encelade 1-2, 2012-13 . Sandblasted glasses, frames 73.5 x 103.5cm each. Guillaume le Moine/ JPL Nasa
View of the solo show "Matière noire", INSA Lyon, 2013. Drawings of zooplankton after Ernst Haeckel are engraved on the framing glass. Photography of Enceladus taken by the Cassini probe
Idéal, 2013, 5 Impressions pigmentaires, 21 x 29.7 cm chaque, encadrement. En collaboration avec l’Institut du Cerveau, Toulouse.
Sidérite, 2013, Météorite sidérite Campo del Cielo, 71 aimants de néodyme. 22 x 14 x 15 cm. Pièce participative
80 μm, 2013. Peinture murale. 17 x 4 m.
Oeuvre pérenne sur le site du campus de la Doua, Lyon
Dans le cadre d’un Workshop avec des étudiants de l'association les lézarts de l’INSA, avec le service culturel de l’INSA-Lyon. Transposition en peinture murale d’une photographie prise au microscope électronique du test de de dureté de Vikers.
Esp.vir, 2013. Projections de dessins numériques
Une exposition collective de jeunes artistes consacrée à l’héritage du 7ème art dans les pratiques artistiques contemporaines.
avec Luc Avargues, Sophie Bacquié, EBMM, Antoine Coquard, Alexandra David, Mathieu Dufois, Julie Dumont, Pierric Favret, Guillaume Le Moine, Mathilde Rachet, Roman Scrittori.
Gap, 2011
DVD, aluminium
Vue de l'exposition THE END,
Hotel Marron de Meillonnas,Bourg en Bresse, 2011
Galerie Sens Unique, Castres 2012
Exposition personnelle du 04/02/12 au 24/03/12
Curator : Laurent Viala
Curator : Le Stand
Invités par le Stand et la Fondation Bullukian, quatre jeunes artistes investissent l’espace d’exposition de la fondation. En s'appuyant sur les subjectivités normatives des modes de représentations spatiales (plans, carte, perspective), ils opèrent un renversement de valeurs. Où sommes-nous ? En jouant sur les échelles, par des maquettes, installations et dessins, ces plasticiens explorent et croisent des notions d’architecture, de territoire, de cartographie et de point de vue. Ils instaurent ainsi un dialogue entre leurs pièces et créent un univers singulier où la perte de repère devient une nouvelle règle.
Vue de l'exposition. Photographie : Jennifer Brial
Disséminations-variation (détail), 2011
Impression jet d'encre
Disséminations-poster, 2011
Dos bleu collé au mur
Romain Beaucousin, Edith Dekyndt, Marco Evaristti, Thomas Grünfeld, Maxime Houot, Ange Leccia, Guillaume Le Moine, Julien Loustau, Elodie Pong, Guido van der Werve
Résidence 15, Usine Utopik, 2012
Avec le soutien de la Région Basse Normandie
IMC5533 is located in the Istanbul Textile Traders’ Market and serves as MIND THE GAP’s central location to find information on the site-specific work taking place throughout Istanbul. This multi-use art space is transformed into the Headquarters for Mellor Management, a performance project that provides a unique, corporate setting for all MTG projects. Viewers are encouraged to experience installations, videos, and participate in our in-house and traveling performative pieces.
Fanny Adler, Art Orienté Objet, Sandra Aubry, Sébastien Bourg, Cathy Cat-Rastler, Jiri Cernicky, John Cornu, Alain Declercq, Morgane Demoreuille, Jean-Jacques Dumont, Jean-Paul Fargier, Philippe Sollers, Bernard Faucon, Peter Fischli, David Weiss, Vanessa Gandar, François Génot, Christianne Geoffroy, Christian Globensky, Tom May, David Guez, Olga Kisseleva, Amandine Le Marec, Guillaume Le Moine, Gianni Motti, Frédéric Pohl, Eric Poitevin, Elodie Pong, David Renaud, Evariste Richer, Benjamin Sabatier, Marc Scozzai, Saskia Raux, Jeanne Suspuglas, Yann Toma, Alain Bonneville, Eric Watier.
Un autre monde, 2008
Texte de 50 μm de longueur lithographié par faisceaux d’électrons sur disque de silicium, cadre aluminium, 35 cm de diamètre.
Photographie prise au microscope à force atomique, format variable. En collaboration avec le CEA- LETI, laboratoire de recherche en nanotechnologie, Grenoble.
Un autre monde, 2008
Texte de 50 μm de longueur lithographié par faisceaux d’électrons sur disque de silicium, cadre aluminium, 35 cm de diamètre.
Photographie prise au microscope à force atomique, format variable. En collaboration avec le CEA- LETI, laboratoire de recherche en nanotechnologie, Grenoble.
Vue de l’exposition, Article 19, FRAC Languedoc Roussillon, Montpellier, 2009